Mais attention : il fallait plus qu’une vision commune sur la durabilité pour séduire Gert. Allergique comme il est aux discours accrocheurs et flatteurs, Blue Lines devait quand même faire ses preuves, avant tout. À présent, nous travaillons ensemble depuis plus de 6 ans : il est donc temps de mettre en lumière cette relation durable.
Outsource qui ?
Une passion sans limite pour les smart topics comme l’IoT, l’IA, la transformation numérique ou encore la mobilité. Une expérience de près de 30 ans dans les relations publiques et la communication. Une vision claire des matières complexes. Un flair naturel pour le contenu intelligent. Tous ces atouts propres à Outsource Communications font de cette entreprise le bureau de communication par excellence pour le secteur des technologies.
Leen Van Parys, experte en communication et partenaire chez Outsource Communications, explique : « Outsource a débuté il y a 27 ans en tant que bureau de relations publiques pour le secteur IT. Au fil des années, la transformation numérique a toutefois entraîné une reconversion de nombreuses entreprises dans le domaine des technologies. Aujourd’hui, nous sommes actifs dans des secteurs très variés comme la mobilité, les ressources humaines, la logistique et les chaînes d’approvisionnement, les soins de santé et l’Industrie 4.0. Outre les relations publiques, nous nous occupons de plus en plus de communication interne, de marketing, de communication RH, de communication d’entreprise et de communication de crise. »
Se connecter mais autrement, lors de pressinars et d’événements hybrides
Leen : « Outre la transformation numérique générale des entreprises, nous relevons également des changements plus discrets, comme la manière dont elles restent en contact avec les acteurs concernés. Depuis la crise du coronavirus, nos clients et nous-mêmes travaillons par exemple beaucoup plus à domicile. Nous avons dès lors réfléchi avec eux à de nouveaux moyens de rester en contact avec les collaborateurs, les clients ou encore les médias. Nous organisons ainsi de plus en plus souvent des pressinars (événements de presse en ligne) et des événements hybrides (qui combinent une diffusion en ligne en direct et la présence d’un public restreint). »
Terminologie anglaise dans les textes technologiques : traduire ou ne pas traduire ?
Leen : « Notre défi, c’est d’expliquer des processus ou services technologiques compliqués tout en restant compréhensibles et accessibles pour tout un chacun, qu’il s’agisse de spécialistes ou de personnes qui sont moins familiarisées avec une certaine technologie. Pour Outsource, il est primordial de connaître au maximum les clients et leur environnement. C’est la condition sine qua non pour transmettre leur message correctement. Les rédacteurs et traducteurs de communiqués de presse, d’études de cas, de blogs et de pages web doivent donc toujours s’immerger dans le domaine, un effort d’analyse et d’apprentissage au quotidien. Le secteur des technologies utilise des termes extrêmement spécifiques et l’anglais s’invite régulièrement dans la terminologie. Il faut évaluer en permanence si ces termes doivent être traduits et, dans l’affirmative, trouver le bon terme en français ou en néerlandais. »
Traductions fluides en polonais, en espagnol ou en roumain : défi relevé !
Leen : « En plus des traductions ordinaires de et vers le français ou l’anglais, nous avions également besoin de traductions de qualité vers des langues moins courantes, comme le polonais, l’espagnol et le roumain. En 2014, nous nous sommes mis à la recherche d’un bon bureau de traduction et nous sommes arrivés chez Blue Lines. Mes collègues et moi sommes tous extrêmement satisfaits de cette collaboration. Chez Blue Lines, vous ne recevez pas une simple traduction. Vous avez en plus l’assurance d’un texte clair et agréable à lire. Avec d’autres traducteurs, on remarquait souvent que les traductions étaient trop littérales. Pas chez Blue Lines. Je relis en principe toutes les traductions (quand je connais la langue, bien entendu) avant de les envoyer au client. Mais si je suis débordée, je peux me permettre d’envoyer les traductions de Blue Lines directement. Je n’ai jamais dû m’en mordre les doigts. »
Le feed-back du client pour un suivi parfait
Leen : « Pour évaluer la qualité des traductions vers des langues que nous ne maîtrisons pas en interne, nous demandons toujours un feed-back au client. L’un d’entre eux recherchait par exemple depuis longtemps des traductions techniques fluides vers le norvégien. Leur bureau de traduction en Norvège ne répondait pas aux attentes, mais avec les traductions de Blue Lines, le client a toujours été entièrement satisfait. Blue Lines fait également preuve d’une grande proactivité. Chaque entreprise emploie des termes spécifiques ou des expressions technologiques propres. Une fois que vous les avez transmis, ils sont automatiquement réutilisés dans une traduction ultérieure. C’est pour moi un atout considérable. »