Hanne Degans, responsable de l’actualité et de la communication scientifique chez imec, explique : « Imec est un leader mondial dans le domaine de la R et D en nanoélectronique et en technologies numériques, allant de la technologie avancée des semi-conducteurs et de l’intelligence artificielle aux solutions de soins de santé intelligents, d’énergie et de mobilité durables et de villes intelligentes. »

COVID-19 : imec à la rescousse !

Hanne : « Nous sommes par exemple en train de développer un test COVID-19 rapide et de qualité, qui fonctionne sur la base de l’air expiré. Il s’agit d’un tube qui analyse les particules de virus présentes dans l’air expiré. Notre test analysera l’ARNm (matériel génétique) du virus, comme un prélèvement nasopharyngé, sans devoir passer dans un laboratoire. La solution idéale pour une utilisation dans les aéroports, où nous souhaitons tester notre prototype. Cette technologie de base pourra ensuite être affinée, afin de tester les gens pour d’autres maladies aéroportées. »

Coefficient de contenu : le contenu positionne, attire, explique, active…

Hanne : « Imec publie du contenu à différents niveaux. Nous faisons de la communication marketing sur notre site web, dans nos brochures, à l’aide de nos newsletters, sur les réseaux sociaux, via des webinaires et lors d’autres événements, ainsi qu’en publiant des communiqués de presse dans les médias. Grâce à ces canaux, nous annonçons nos activités et programmes, nous attirons des partenaires et nous faisons connaître imec au grand public. En outre, la communication scientifique nous permet de positionner imec sur le marché. Nous publions des éditoriaux et des articles dans la presse spécialisée et rédigeons des livres blancs sur des thèmes spécifiques. Nous communiquons aussi activement avec le grand public. Par exemple, nous avons récemment réalisé une imec special edition en collaboration avec le magazine Eos. Enfin, nous utilisons aussi du contenu pour la communication RH, afin d’attirer des penseurs et des acteurs fiables. »

Une bonne traduction scientifique est correcte sur le plan technique et accessible

Hanne : « Les articles techniques destinés aux partenaires universitaires et industriels doivent être étayés et pertinents. Nous attendons donc que ces qualités se retrouvent également dans les traductions. Elles doivent être correctes sur le plan technique et au niveau du contenu, tout en ayant l’air naturelles, sans ressembler à des traductions littérales. La confiance est donc de mise. L’essentiel de notre travail de traduction se fait dans les combinaisons linguistiques néerlandais-anglais et anglais-néerlandais, mais nous faisons également traduire des textes sources en allemand, en français, en chinois, en japonais et en hébreu. Pour les langues étrangères, nous devons pouvoir compter sur l’expertise de traducteurs natifs. Il est important que les textes de notre communication globale au grand public soient rédigés de manière très accessible. Nous attendons donc que la traduction se lise de manière aussi fluide que le texte source. »

L’IA dans le secteur de la traduction : comme un arrière-goût âcre

En tant qu’institut de recherche, imec a déjà acquis une grande expertise dans l’utilisation de l’intelligence artificielle dans différents domaines. Dans le secteur de la traduction également, les logiciels de traduction automatique tels que DeepL sont de plus en plus utilisés pour traduire de gros volumes en peu de temps et à prix abordable. Lorsqu’imec a voulu faire traduire une synthèse de 35 000 mots en peu de temps, Blue Lines a mis cette technologie à l’épreuve. Résultat : un document incohérent, qui a nécessité d’innombrables modifications pour obtenir un texte intelligible. Notre conclusion : les moteurs généraux ne sont pas adaptés aux documents spécialisés — et nous l’expliquons toujours à nos clients.

Hanne : « Mais il ne s’agit pas d’une critique. Nous savions que nous nous embarquions dans une aventure particulière, en optant pour la traducteurs ?" href="https://bluelines.be/fr/les-machines-remplaceront-elles-les-traducteurs/">traduction automatique. Vos chefs de projet avaient tempéré nos attentes en amont et nous avaient déconseillé de nous tourner vers cette solution. Le résultat n’était tout simplement pas comparable à ce à quoi nous sommes habitués, quand deux locuteurs natifs spécialisés fournissent une traduction. Nous sommes extrêmement satisfaits de la qualité et du service que vous offrez, et ce, tant dans les réactions rapides aux e-mails et la ponctualité des livraisons que dans la qualité des traductions. Nous signons sans hésiter pour 10 ans de collaboration. »

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