Lotje De Ridder, deputy manager communication & fundraising, raconte :

« En 2014, j’étais à la recherche d’un bon partenaire de traduction pour mon ancien employeur. À l’époque, je travaillais pour BIO (Société belge d’investissement pour les pays en développement). Le défi consistait à rendre des textes financiers aussi humains que possible, tout en conservant le style spécifique du texte source. J’ai interrogé mon réseau et plusieurs personnes m’ont recommandé Blue Lines. Dès la première traduction, j’ai été vraiment satisfaite. Quel soulagement de pouvoir publier des textes directement, sans devoir les retravailler au préalable ! Lorsqu’en 2018 j’ai dû faire traduire les statuts de DUO for a JOB, je me suis à nouveau adressée à Blue Lines. Chez nous, les petits textes, par exemple des publications Facebook, sont traduits par des bénévoles. Mais s’il s’agit d’un document important, comme le rapport annuel, nous préférons travailler avec un partenaire de traduction professionnel. »

Pour DUO for a JOB, le rapport annuel est une publication majeure, car elle vise un large public, à savoir les sponsors, les pouvoirs publics et les mentors.

« Une telle publication doit aussi comporter énormément d’informations : des témoignages, des chiffres, ainsi que la présentation de notre méthode dans son intégralité. Nous essayons de trouver le ton adéquat en français (le siège social de DUO for a JOB se trouve à Bruxelles) et nous souhaitons que les traductions anglaise et néerlandaise soient aussi accessibles et compréhensibles que le texte source. »

Dans la collaboration avec Blue Lines, Lotje apprécie particulièrement le professionnalisme de l’équipe.

« La communication avec les project managers se déroule à la perfection et la livraison se fait toujours dans les temps. Voilà 5 ans que je travaille avec Blue Lines et il ne m’est arrivé qu’une seule fois d’émettre des réserves sur une traduction. L’équipe m’a alors immédiatement proposé de faire réviser et retravailler la traduction par un autre traducteur, plus spécialisé. Ce qui nous a ainsi permis d’obtenir un bon résultat. Je tiens également à parler des traducteurs eux-mêmes. J’ai l’impression qu’ils sont vraiment très bons et qu’ils prennent la peine de se familiariser avec l’entreprise pour laquelle ils traduisent et de s’approprier son vocabulaire spécifique. »

L’entrepreneuriat socialement responsable et la communication en la matière sont depuis quelque temps au cœur de l’actualité. Pour DUO for a JOB, collaborer avec des entreprises respectueuses de l’humain est tout simplement une évidence. Ils n’accepteront, par exemple, pas d’argent venant d’entreprises actives dans l’industrie du tabac.

« Mais nous souhaitons également savoir si les fournisseurs avec lesquels nous collaborons défendent les valeurs adéquates. Et avec Blue Lines, nous avons vraiment ce sentiment. »

La langue est un aspect important pour une organisation à visée interculturelle. Pour recruter des jeunes, DUO distribue des prospectus et affiches en turc et en arabe.

« Nous le faisons uniquement pour atteindre le groupe-cible. Une fois que les jeunes débutent un trajet avec un mentor, l’accompagnement se déroule en français, en néerlandais ou en anglais. Il doit s’agir d’une langue pouvant leur permettre d’accéder au marché du travail en Belgique. Pour les jeunes, c’est également une opportunité de pratiquer une langue avec leur mentor. S’ils ne connaissent pas encore une de ces langues, il faudra tout d’abord chercher un cours de langue adapté. Toutes les universités belges proposent d’ailleurs des cours de français et de néerlandais très accessibles et destinés aux allophones bénéficiant d’une formation supérieure. »

Pourquoi est-il particulièrement judicieux de travailler pour DUO en tant que sponsor et/ou mentor ?

« Chez DUO, notre mission consiste à donner aux jeunes issus de l’immigration tous les outils leur permettant de trouver du travail seuls. Nous ne cherchons pas un emploi à leur place, mais nous leur apprenons, par le biais du mentorat, à se constituer un réseau et à développer certaines compétences, afin de les rendre plus forts dans leur recherche d’emploi autonome. Les mentors en retirent également beaucoup. Ils bénéficient d’une formation de 4 jours au cours de laquelle ils sont informés des mesures de mise au travail ainsi que des défis et du contexte auxquels sont confrontés les jeunes. Ils apprennent également à coacher, à écouter activement, à travailler de manière interculturelle… Autant d’aptitudes qui peuvent leur être utiles dans leur propre carrière. Certains sponsors comme bpost, ING et Partenamut accordent une dérogation à des travailleurs en fin de carrière afin de leur permettre de travailler comme bénévoles pour DUO. Le point positif de tout cela, c’est que nous constatons qu’au terme de leur expérience ces personnes envisagent autrement leur politique de recrutement. C’est extrêmement constructif et enrichissant pour la diversité de l’entreprise elle-même. »

 

Pour en savoir plus sur le fonctionnement de cette belle organisation, lisez le rapport annuel, traduit du français en anglais et en néerlandais par Blue Lines.

Vous avez envie de vous impliquer de l’une ou l’autre manière pour DUO for a JOB ? Jetez un coup d’œil sur leur site et lancez-vous !

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