Blue Lines est depuis de longues années le partenaire de confiance de B. Braun Benelux pour ses traductions. Elke Corens, Human Resources Manager Benelux au sein de B. Braun, nous parle de cette collaboration.

Quand et comment êtes-vous arrivés chez Blue Lines ?

Avant d’entrer au service de B. Braun, j’ai travaillé durant cinq ans chez Hill & Knowlton. C’est là que j’ai commencé à collaborer avec Blue Lines. Et lorsque j’ai rejoint B. Braun il y a onze ans, j’ai proposé Blue Lines comme partenaire de traduction. B. Braun et Blue Lines collaborent donc depuis déjà 11 ans !

Comment décririez-vous la collaboration avec Blue Lines ?

Agréable, fluide, rapide, flexible. Sans oublier une saine dose de sens critique. Vous nous rendez de temps en temps visite pour faire le point sur la collaboration et suggérer des points à améliorer. Vous réfléchissez également avec nous, par exemple pour sélectionner des traducteurs parfaitement aguerris à nos textes sources. Une autre de vos propositions pertinentes a été la création d’une mémoire de traduction afin de renforcer la cohérence terminologique. Vous tenez aussi compte de nos desiderata stylistiques. Nos textes RH, par exemple, peuvent être traduits dans un style un peu plus informel que notre communication externe.

Mais si le courant passe aussi bien entre B. Braun et Blue Lines, c’est aussi et surtout grâce au facteur humain. Nous sommes très attachés au contact personnel, au sentiment de proximité virtuelle. C’est Kobe, Margo, Stef et Virginie que nous contactons… pas madame Tartempion ou monsieur Machin Chouette. Nous entretenons un bon dialogue, accessible et personnel. Avec Blue Lines, nous avons véritablement noué une collaboration de qualité, inscrite dans la durée, un partenariat dont chaque partie veut être au service de l’autre.

Quels sont vos groupes cibles ? Le style leur est-il adapté ?

Nous communiquons en interne avec nos collaborateurs. En externe, nous privilégions une communication B2B avec les hôpitaux et les établissements de soins. Pour certains produits, comme les stomies, nous communiquons en B2C avec les patients, lors de salons par exemple. Bien entendu, nous nous adressons différemment aux patients et aux professionnels de la santé, ce qui influence nos attentes pour les traductions.

Quels types de contenus publie B. Braun, et via quels canaux ?

La numérisation croissante de la communication marketing est une tendance également à l’œuvre chez nous. Nous travaillons de moins en moins avec des dépliants et des brochures papier, mais utilisons des apps et envoyons nos brochures par voie numérique. Par ailleurs, nous organisons régulièrement notre « expert academy », une plate-forme scientifique sur laquelle les professeurs d’hôpitaux universitaires peuvent échanger leur expertise avec d’autres experts. En interne, nous communiquons sur notre politique d’entreprise, mais aussi sur les naissances, les mariages, tous les événements de la vie de nos collaborateurs. Ces annonces sont diffusées sur notre intranet.

En quoi le contenu fait-il progresser vos activités ?

La manière dont nous formulons notre message exerce une grande influence sur notre image. Les informations que nous diffusons doivent être solidement étayées scientifiquement, détaillées et aller droit au but. La façon dont nous traitons les plaintes relatives aux produits influence également notre crédibilité. En gérant l’information avec soin, nous renforçons notre réputation de prestataire de qualité.

Le secteur médical exige-t-il une approche spécifique de la communication ?

Le secteur médical est évidemment très régulé et ces règles deviennent de plus en plus strictes avec le temps. La façon d’aborder les spécialistes, par exemple, est soumise chaque année à toujours plus de règles. Nous pouvons communiquer sur les syndromes, mais pas faire de publicité gratuite pour nos produits.

Depuis l’entrée en vigueur du règlement RGPD, nous devons planifier encore plus longtemps à l’avance nos campagnes de communication. Nous devons aussi redoubler de prudence à l’égard de la vie privée des patients. Il en a résulté une forte surcharge de travail ; nous avons dû, par exemple, repenser la procédure d’inscription en ligne sur notre site internet et nos apps. Désormais, le délégué à la protection des données est beaucoup plus impliqué dans les processus de communication.

Dans quelles langues les textes sont-ils rédigés ? Et vers quelles langues doivent-ils être traduits ?

Nous rédigeons nos textes en néerlandais et les faisons traduire par Blue Lines en français. C’est un choix délibéré car nous voulons nous adresser à nos clients et à nos collaborateurs dans leur langue maternelle, et pas en anglais. Il arrive également que Blue Lines doive traduire des textes de l’anglais vers le néerlandais ou le français. Il s’agit alors de documents transmis par le groupe international.

Dans quels formats de fichier livrez-vous vos textes ?

Nous envoyons généralement des fichiers Word, mais il peut aussi s’agir d’un fichier PowerPoint, Excel ou InDesign.

Quelles sont vos attentes par rapport à la traduction ?

En fait, nous communiquons régulièrement nos attentes. C’est ainsi que nous avons abouti à l’utilisation d’une mémoire de traduction, qui constitue un bon outil de gestion terminologique. Nous voulons évidemment que le style du texte source soit respecté. S’il est informel, nous voulons retrouver ce ton informel dans la traduction. Nous ne voulons pas d’une traduction littérale, mais elle doit faire passer le même message avec fluidité. Le fait que nous travaillions ensemble depuis tant d’années contribue évidemment à obtenir de bons résultats. Comme je l’ai déjà dit, il s’agit ici d’un véritable partenariat, dans lequel nous voulons tous investir.

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